Ce matin, je me suis réveillé voyant la lueur dirigée,
Mon corps tiède étant posé sur mes draps blancs froissés.
À peine retrouvé sur le côté à sentir ma peau effleurée,
La légèreté du tissu m’entourant fut assez,
Pour sentir ma tête commencée à s’éclipser.
Vers un moment concentré sur ma propre lancée.
Tout dans ma tête devenait clair,
Cela pris immédiatement tout mon air.
Un petit sourire prend place dans la lumière,
Et dévêtis aussitôt mon corps de pierre.
Prenant mon désir comme un adversaire
Je veux m’assurer de ressentir tout en chair.
Mon corps nu réagit à la température sans couverture,
Rendant mes mamelons complètement durs.
J’en profite pour jouer avec l’architecture de ma structure,
Prenant le temps de pouvoir permettre une lente clôture
En m’imaginant fermement aux seins quelques morsures.
Voulant conserver mes sensations aux mamelons,
Tout en voulant explorer plusieurs régions.
J’insère mon jouet à succion à ma gauche,
Faisant l’effet d’une bouche pleine de pulsions.
Je descends alors mes mains prendre mon médaillon,
Sentir mon bon liquide que j’étends entre mes cuisses
Pour ensuite y goûter sur le bout d’un de mes doigts.
Je glisse ma main et mes doigts de hauts en bas,
Touchant à chaque partie de ma vulve.
Pour remplir mon désir de dévertir
Tout ce qui coule entre mes deux orifices.
Je veux établir un rythme en augmentant ;
L’intensité de mon jouet toujours vibrant.
Je ne peux plus réfléchir et mes mouvements ;
Deviennent une façon de me nourrir.
Le liquide qui se déverse me rend tout sauf immobile,
Je me mets à stimuler mon clitoris de profil ;
Entre un doigt dans mon anus bien tranquille.
Je suis mouillée d’une partie à une autre ;
Comme si tout mon liquide tenait qu’à un fil,
J’en peu plus de ces rimes, mon esprit devient exil.
Je ne peux qu’accélérer la double stimulation concile,
Rien ne compte plus ; tout semble flou autour
Mon corps tremble et se retrouve en péril
Tout est embrouillé et je semble vaincue
Je tremble et ma voix gémit sans retenue.
-Fleure