Ton doigt dans ma bouche Je ne veux plus parler Je n’attends rien de toi En même temps si tu veux Tu peux faire tout de moi On reste comme ça Tu me dis que je dois Sucer ton doigt plusieurs fois À répétition, encore et encore Avec ton masque
Menton posé Dans le creux d’une épaule familière Mon corps entier Déposé sur un autre Mon pied pend hors du lit Pour me garder fraîche Comme si fraicheur allait durée Je dirais que c’est un jour pour les amants Poitrine perlée d’une jouissance partagée Que l’on lèche avec mouchoirs et
Je te sens t’approcher Attendre avant de me parler Me regarder sans jamais les croiser Une fois l’évidence installée Tu me fais te suivre juste là Tu me perçois pressée de pouvoir toucher Sachant bien que tu n’as pas cette intention Tu m’entoures dans le coin du mur Prenant possession
Ma peau frissonne si facilement… Ce type de moment Où tout ce qu’on entend Est notre sang circuler si doucement Prenant bien le temps De me couvrir de dentelle Je me promène pieds nus L’appartement reste à l’affut Tout me semble embrouillé Autour de moi je sens la brise C’est
Ce matin, je me suis réveillé voyant la lueur dirigée, Mon corps tiède étant posé sur mes draps blancs froissés. À peine retrouvé sur le côté à sentir ma peau effleurée, La légèreté du tissu m’entourant fut assez, Pour sentir ma tête commencée à s’éclipser. Vers un moment concentré sur
On est arrivé dans cet univers un samedi soir. Notre soirée pour la Saint-Valentin, on avait dit. On arrive au club. Le bar au fond du bar, et la musique house en ambiance. On observe autour de nous. Qui viendra nous observer ce soir. On fait la visite des lieux.
T’es arrivé par la porte patio. J’avais pris la peine de la laisser débarrée. J’attendais à l’autre bout du corridor, une main posée sur le mur. Malgré le gigantisme du chandail que je portais, il était juste assez long pour couvrir mes fesses mais laissait tout de même entrevoir les
Avant de s’essuyer sur ma taie d’oreiller Il s’est retiré, sanglant Fixé sur sa bite, on la regardait On la regardait glisser doucement hors de moi Comme curieux de voir si mon sang l’avait teinté Je voyais mes cuisses, couleur passion Je voyais son membre sortir Je sentais son membre
Tu sais quoi, je te ne l’ai jamais dit Mais, parfois je m’arrête et je pense à ta langue. Je m’imagine ce que tu es entrain de faire Et quand sera le prochain moment où ta salive Pourra couler dans ma bouche. Tu sais quoi, je te ne l’ai jamais
Fleur Sauvage Lingerie promeut à travers une ambiance de jeu l’exploration corporelle, l’épanouissement érotique et la diversité humaine.
Consentement – Plaisir – Ouverture
Respect – Lâcher prise – Bien-être